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Quand le soir , lentement , descend sur la colline ,
et que mes yeux fiévreux se posent sur la mer,
aux reflets sinueux jetant de brefs éclairs,
la lune y reflétant sa blancheur opaline.
Je goûte la douceur d'un vieux jour qui s'achève,
aux gouttes de chagrin de mêlant à la peur,
au parfum de jasmin à ses plus tendres heures,
je hume la senteur d'une paisible trêve.
Bientôt un nouveau jour aux capiteuses essences,
se déploiera autour du vide de l'absence,
avec ses pluies acides et ses arômes d'ange.
Car ainsi va la vie qui court comme le vent,
Car ainsi se meut l'amour au parfum d'innocence,
battement infini des cœurs au bois rêvant .
Texte de Serenita ( Bienheureuse trêve)
musique Dilunk 2018
22 commentaires -
J'ai fait des milliers de rêves,
je n'ai jamais douté !
Je sais fort bien qu'aujourd'hui,
tous ces rêves sont consumés,
j'ai crée des milliers d'images
les faisant sortir du fond des âges ....
J'ai trop cru en la bonté,
à présent je suis épuisé (x2)
C'est le journal d'un con,
qui court après sa raison,
qui croyait en la justice,
mais tout n'est qu'illusion...
pauvre âme oppressée,
qui s'est seulement égarée,
dans les contrées mystérieuses,
des ombres qui ne vivent que pour elles ...
Des milliers de passants
qui glissent vers le néant,
comme une ronde infinie
aux portes du temps,
des milliers de regards
qui transpercent ma mémoire...
à la frontière du soir,
à la recherche d'un espoir ...
C'est le journal d'un con,
qui a cru les promesses
de tous ces guides proclamés,
qui se noient dans l'ivresse,
qui croyait dur comme fer,
sur les promesses des mystères,
mais la vérité est tombée...
Des milliers de passants
qui filent sur le néant,
dans cette ronde infinie
prisonniers du temps,
qui croient en la justice,
mais tout n'est qu'illusion...
Dans le journal d'un con....
qui court après sa raison ....
P&C Dilunk 2018
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