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Par dilunk le 2 Février 2017 à 19:01
Petit garçon qui guette une voix dans le noir...
Il a peur, il est seul, il ne veut pas s’assoir .
A tâtons, plein de crainte, il cherche la porte du couloir ...
Au delà de mes rêves, je cherche une île, un espoir,
frisson intense qui te parcourt le corps....
Tu sais qu'il faudra vaincre, être le plus fort...
Gagner sur la vie, peut-être même.. sur la mort,
Au delà de mes rêves, mon monde devient de l'or,
une âme perdue sur des rivages inconnus...
Vision étrange d'une litanie de visages connus...
Seul sur son banc, le petit garçon n'en peu plus,
il pleure la petite fée qui n'est jamais venue ...
Au delà de mes rêves, je cherche une île, l'espoir,
plein de crainte, je guette une voix dans le noir,
je sais qu'il faudra vaincre, être le plus fort,
vaincre sur la vie, peut-être même sur la mort...
Il pleure la petite fée qui n'est jamais venue ...
Une âme perdue sur des rivages inconnus,
seul sur son banc, le petit garçon n'en peu plus
il pleure la petite fée qui n'est jamais venue ....
P&C Dilunk 2017
19 commentaires -
Par dilunk le 21 Janvier 2017 à 19:51
Sur les prémices de mes nuits blanches,
je rongeais tant d'idées noires....
Je voyais des hommes brisés,
s'enchainer de liberté... (bis)
Dans un chemin sans issue,
était la voie perdue...
Les muets savaient parler,
les morts pouvaient penser...(bis)
Ceux qui courraient , piétinaient ,
ceux qui savaient...se taisaient ...
Les anciens étaient si jeunes,
les jeunes étaient si vieux ...(bis)
Flétris sur toute l'âme,
ainsi se jouait le drame...
Les nuits seraient si courtes ,
avec des heures si longues ...(bis)
grands ouverts, les cœurs fermés...
grands ouverts , les cœurs fermés...
P&C Dilunk 2017
18 commentaires -
Par dilunk le 16 Janvier 2017 à 11:40
Seul, sur un banc, face à l'océan,
le visage caressé par le vent.
Il est si heureux, oh tellement bien,
il ne se rappelle en fait, de rien.... (bis)
le soleil est là et se lève....
Il emprunte une voie étrange,
le chemin se nomme espérance,
il fait partie de tous ces gens heureux,
le soleil se trouve au fond de ses yeux (bis)
qui pourrait lui ôter la force?
De croire en un monde merveilleux ...
Aujourd'hui, rien ne serait pareil,
il gagne sur sa vie....
Seul sur un banc face à l'océan,
le visage si heureux maintenant (bis)
il est heureux avec rien,
il sourit, il sourit enfin...
Il lève la main sur l’océan,
il sourit, il a trouvé....
Que reste-t-il du temps passé?
Plus rien, il a tout oublié .....
P&C Dilunk 2017
16 commentaires -
Par dilunk le 10 Janvier 2017 à 17:27
Juste un peu de moi,
dans ton cœur, dans tes bras,
dans toutes les choses qui sont autour de toi....
Juste un peu de moi ...
Dans le silence tu crois entendre ma voix ....
Mais le temps nous a poussé,
où l'on ne voulait pas aller...
Mais le temps nous a poussé...
Sur des chemins si opposés.
Juste un peu de moi,
dans ce chemin où il fait froid,
j'y suis, j'y vis, tu vois ...
Juste un peu de moi,
dans ce refrain, dans ce choix,
j'y suis, j'y dors, tu vois...
Mais le temps nous a brisé,
on ne voulait pas y penser...
Mais le temps nous a poussé,
sur des chemins si éloignés...
Juste un peu de moi (4)
Mais le temps nous a poussé,
où l'on ne voulait pas aller,
mais le temps nous a poussé
sur des chemins opposés ...
Juste un peu de moi,
dans ton cœur, dans tes bras,
dans toutes les choses qui sont autour de toi,
juste un peu de moi,
dans tes rêves , dans tes draps
dans le silence tu crois entendre ma voix...
Mais le temps nous a brisé,
on ne voulait pas y penser,
mais le temps nous a poussé
sur des chemins si éloignés...
Juste un peu de moi,
dans tes rêves, dans tes draps,
dans le silence tu crois entendre ma voix,
juste un peu de moi,
dans ce chemin où il fait froid,
j'y suis, j'y vis , tu vois...
Juste un peu de moi,
dans ce refrain, dans ce choix,
j'y vis, j'y dors , tu vois ....
P&C DILUNK 2017
25 commentaires -
Par dilunk le 4 Janvier 2017 à 21:13
Le vent balayait cette large plaine,
vaste étendue stérile et incertaine,
les ombres passaient lentement sur les heures,
de leurs cris, de leurs chants serraient les cœurs ...
Le vent me portait de cette longue plaine,
les plaintes multiples, les longues peines,
de ceux qui erraient entre ces lieux,
abandonnés de tous, même de leur Dieu ...
En longues litanies les esprits avançaient,
cherchant à me dire, à me chuchoter,
leurs peurs, leurs craintes, leurs erreurs ,
dans cette longue plaine, sans véritable lueur ...
Par groupes elles criaient, elles suppliaient ,
de dire à leurs proches, à leurs parents,
que leurs misères dans cette longue plaine,
n'a pas de fin, ne peut s'arrêter...
Le vent balayait cette longue plaine,
vaste étendue vide et sombre,
j'y voyais des milliers de milliers d'ombres,
aux plaintes multiples, aux longues peines ...
P&C Dilunk
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